Augmentation mammaire Lausanne

La pose d’implants ou de prothèses mammaires est certainement l’intervention de chirurgie esthétique la plus connue et répandue dans le monde et en Suisse. La prise en compte des raisons, des attentes et des motivations de la patiente est très importante dans ce type d’intervention. Grâce au logiciel Crisalix®, un aperçu du résultat est possible avant même de franchir le cap. Une solution idéale pour affiner son projet d’augmentation mammaire. 

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L’AUGMENTATION MAMMAIRE PAR PROTHÈSE OU IMPLANTS

L’hypotrophie mammaire touche à la féminité et peut voir un retentissement physique et psychologique important. Il s’agit parfois d’un véritable complexe responsable d’une perte de confiance en soi. L’objectif de l’intervention est de réaliser une augmentation mammaire, grâce à la mise en place de prothèses ou d’implants mammaires. Le résultat doit être le plus naturel et le plus harmonieux possible.

LES PROTHÈSES MAMMAIRES EN SILICONE

Les implants mammaires mis en place à Genève, Montreux ou Lausanne, en Suisse et dans le monde, sont remplis essentiellement de silicone médicale sous forme de gel.

Ces prothèses sont utilisées depuis les années 1960 pour l’augmentation du volume de la poitrine. Les études scientifiques ont démontré leur sécurité au cours des décennies et leur aspect similaire à un sein normal à la palpation. Depuis le début des années 2000 les prothèses mammaires ont été modifiées pour être encore plus résistantes et pour avoir une durée de vie plus longue. Comme pour tous les dispositifs médicaux, leur fabrication est soumise à des règles très strictes.

Les implants mammaires sont constitués d’une enveloppe le plus souvent texturée très résistante, élastique, formée trois couches. L’enveloppe est remplie d’un gel de silicone médical dont la souplesse et la consistance sont proches de celles du sein. Les modifications techniques apportées aux nouvelles prothèses portent sur :

  • La capsule de la prothèse : cette enveloppe très solide, interdit toute diffusion du gel de silicone en dehors de la prothèse d’une part, et s’use beaucoup moins dans le temps d’autre part.
  • Le gel médical de silicone : ce gel est dit « cohésif », car sa consistance, à la fois souple et ferme, est proche de celle de la glande mammaire. Ce gel reste à l’intérieur de la prothèse en cas de rupture traumatique de l’enveloppe.

En plus de ces modifications techniques qui permettent d’avoir des implants mammaires beaucoup plus fiables, il existe maintenant plusieurs formes d’implants mammaires ronds ou anatomiques (en forme de goutte). Ces prothèses se différencient par leur diamètre au niveau de la base, leur projection ou leur profil (bas, modéré et haut) et leur hauteur pour les implants anatomiques.

La grande variété de formes et de volume des implants permet pour chaque patiente, en fonction de sa physionomie et de ses désirs, de prendre une décision chirurgicale personnalisée à chaque cas.

AVANT L’INTERVENTION D'AUGMENTATION MAMMAIRE

La consultation se déroulera à Laclinic Montreux, ou à la Beauty Suite à Lausanne, (à 30 minutes de Genève par le train).

Pour le Docteur Jean-Charles BAYOL, chaque patiente est unique.

  • La consultation commencera par un interrogatoire pour connaitre vos antécédents, vos souhaits et vos motivations. L’examen clinique permettra d’inspecter et d’ausculter les seins, il se terminera par des mesures au niveau des seins et du thorax.
  • Après l’interrogatoire et l’examen clinique, le Docteur BAYOL déterminera, avec vous, la forme et le volume des implants, le siège des cicatrices, la situation des prothèses par rapport au muscle pectoral afin d’obtenir le meilleur résultat esthétique qui vous satisfera pleinement.
  • Une simulation informatique tridimensionnelle du résultat attendu pourra être immédiatement réalisée grâce à une tablette tactile (i Pad) équipée d’un scanner, ou après numérisation des photos réalisées après l’examen clinique. Le logiciel Crisalix permet en effet de simuler l’augmentation mammaire avec différents types d’implants et de pouvoir comparer les résultats.
  • Au-delà de 35 ans, ou s’il existe des antécédents familiaux de cancer du sein, une mammographie et/ou une échographie seront prescrits.
  • Quatre ordonnances vous seront faites pour l’intervention : un bilan préopératoire, une ordonnance pour commander le soutien-gorge de contention, une ordonnance pour des bas de contention, et une ordonnance de traitement homéopathique à prendre 10 jours avant l’intervention afin de minimiser, l’œdème et les hématomes post-opératoires.
  • Un rendez-vous de consultation devra être pris avec un médecin anesthésiste.
  • Il est fortement recommandé d’arrêter le tabac au moins un mois avant l’intervention car le tabac a un effet délétère sur la cicatrisation.
  • Il faudra penser à ne pas prendre d’aspirine (qui favorise les saignements) dans les 15 jours précédant l’intervention.
  • Il faudra être à jeun (ne pas manger, boire, fumer) au moins 6 heures avant l’intervention.

TYPE D’ANESTHÉSIE ET MODALITÉS D’HOSPITALISATION POUR DES PROTHÈSES MAMMAIRES

Il s’agit le plus souvent d’une anesthésie générale au bloc opératoire pendant laquelle vous dormez complètement.

Il est nécessaire de rester hospitalisé une journée et une nuit à Laclinic Montreux. Le plus souvent la patiente entre le matin, est opérée et est surveillée le reste de la journée et la nuit qui suit. La sortie s’effectue le lendemain matin.

L’INTERVENTION CHIRURGICALE À GENEVE OU LAUSANNE

Chaque chirurgien esthétique a sa propre technique qu’il adapte à chaque patiente pour obtenir le meilleur résultat. Cependant, nous pouvons retenir quelques principes de base communs :

Incisions cutanées, voies d’abord

Il existe plusieurs incisions cutanées possibles (figure 1). Le dessin de ces voies d’abord correspond au siège des futures cicatrices, qui seront cachées dans des zones de jonction ou des plis naturels. Chaque voie d’abord a ses avantages et ses inconvénients.

Augmentation mammaire
Augmentation mammaire

Figure 1: voie d’abord des prothèses mammaires

  • Voie axillaire : la cicatrice est cachée sous le bras. Cette voie d’abord est adaptée à la mise en place des implants derrière le muscle pectoral, elle évite toute cicatrice sur le sein lui-même. Le Docteur Jean-Charles BAYOL réalise souvent cette voie d’abord chez les jeunes patientes qui n’ont pas ou peu seins. Mais Cette voie d’abord ne pourra pas être réutilisée en cas de changement d’implant.
  • Voie aréolaire : l’incision se fait au niveau de l’hémi-circonférence inférieure de l’aréole. Il s’agit de la voie d’abord la plus utilisée pour les implants mammaires en situation pré-pectorale, elle permet un contrôle direct de la zone d’implantation (dissection, hémostase). Le Docteur Jean-Charles BAYOL réalise cette voie d’abord chez les patientes qui ont eu des variations de volume des seins suite à des grossesses ou des variations de poids, et lorsque les seins tombent légèrement. Mais l’abord transglandulaire sectionne des canaux galactophores (susceptible de compromettre un futur allaitement).
  • Voie sous-mammaire : la cicatrice est placée dans le sillon sous-mammaire. Cette voie d’abord s’adresse aux patientes ayant les sillons sous-mammaires bien définis, avec amorce de ptose, pour mettre les prothèses mammaires en situation pré et rétro-pectorales avec un contrôle direct de la zone d’implantation (dissection, hémostase). Mais certaines patientes reprochent à cette voie d’abord une cicatrice parfois visible qui peut être placée un peu au dessus (plus rarement au dessous) du sillon sous mammaire, raison pour laquelle le Docteur Jean-Charles BAYOL ne réalise que rarement cette voie d’abord.

Positionnement des implants mammaires

Après avoir réalisé la voie d’abord, la loge qui recevra l’implant pourra être faite devant ou derrière le muscle grand pectoral :

  • Devant le muscle ou prémusculaire (figure 2) : l’implant est positionné derrière la glande mammaire et devant le muscle grand pectoral. Il s’agit de la position la plus anatomique mais le pôle supérieur de l’implant est parfois visible surtout si la patiente est maigre.
Implant mammaire
Implant mammaire

Figure 2: implant mammaire prémusculaire

  • Derrière le muscle ou rétromusculaire (figure 3) : l’implant est positionné derrière le muscle. Le Pôle supérieur de l’implant est moins visible chez une patiente maigre. Mais les douleurs postopératoires sont plus importantes et il existe un risque d’aplatissement du sein lors de la contraction.

Figure 3; implant mammaire rétromusculaire

L’implant mammaire est mis en position dual plan lorsqu’il est recouvert par le muscle au niveau de sa moitié supérieur et lorsqu’il est recouvert par la glande mammaire ré étalée en avant du muscle au niveau de sa moitié inférieure.

La décision du placement des implants dépend des caractéristiques morphologiques de la patiente. Le docteur BAYOL déterminera avec sa patiente la meilleure solution.

Gestes éventuellement associés

Si les seins tombent trop avant l’intervention (ptose mammaire), il faudra associer à la mise en place des implants mammaires, un lifting des seins (mastopexie). Ce lifting consiste à diminuer l’excès de peau pour faire remonter le sein et l’aréole. Les cicatrices sont plus importantes : une cicatrice autour de l’aréole, une cicatrice verticale sous l’aréole, +/- une cicatrice dans le sillon sous-mammaire.

Drainage et pansements

  • Un drain est mis en place pour évacuer le sang. Il peut être conservé de 1 à 5 jours et n’empêche pas le retour à domicile.
  • En fin d’intervention, un pansement simple sur les cicatrices est réalisé. Il est complété par un bandage compressif. Le soutien-gorge de contention, prescrit en consultation préopératoire, est mis en place immédiatement au bloc opératoire.
  • En fonction du chirurgien esthétique, de la voie d’abord et la nécessité éventuelle de gestes complémentaires associés, l’intervention peut durer une heure à deux heures et demi.

LES SUITES OPÉRATOIRES DES IMPLANTS MAMMAIRES

Douleurs après une opération d’implants mammaires

Il existe parfois des douleurs lorsque la prothèse mammaire est placée derrière le muscle et/ou lorsque la prothèse est volumineuse. Ces douleurs peuvent persister une semaine, elles seront fortement calmées par les ordonnances de traitements antalgiques.

Les premiers jours les seins sont bleus (ecchymoses), gonflés (œdème) et il est parfois difficile de lever les bras.

Limiter les gênes suite à une intervention d’augmentation mammaire

Afin de limiter l’importance et la durée des suites opératoires, vous serez systématiquement pris en charge par le département de physiothérapie, pour des soins postopératoires. Dès le lendemain matin, des massages doux de la zone opérée et des soins LED permettront d’assurer un drainage lymphatique et de favoriser la cicatrisation.

Le premier pansement est retiré le lendemain de l’intervention. Des soins locaux simples de cicatrices devront être réalisés quotidiennement pendant 10-15 jours. Le port d’un soutien-gorge sans armature nuit et jour est obligatoire pendant environ 2 mois.

Une convalescence d’une semaine est nécessaire, le sport pourra être repris au bout de 6 semaines.

LE RÉSULTAT DE LA CHIRURGIE ESTHÉTIQUE DE L’AUGMENTATION MAMMAIRE PAR PROTHÈSE OU IMPLANTS EN SUISSE À MONTREUX, LAUSANNE ET GENÈVE

Pour avoir une idée du résultat définitif, il faudra compter 6 mois. Pendant cette période, les implants mammaires vont prendre leur position définitive et les seins vont s’assouplir.

Le résultat cicatriciel est beaucoup plus long, puisqu’il faudra parfois compter de un an à un an et demi pour avoir un résultat cicatriciel définitif.

L’augmentation du volume de la poitrine modifie la silhouette de la patiente, cette modification morphologique améliore le bien-être psychique de la patiente et lui donne souvent plus de confiance en elle.

Évolution dans le temps :

En dehors d’un amaigrissement ou d’une prise de poids importante, le volume de la poitrine ne bougera pas dans le temps et le résultat restera stable. Cependant, comme pour toute poitrine, avec le temps, les seins tomberont progressivement. Cela dépendra bien entendu de l’âge de la patiente, de l’élasticité de sa peau, mais également de la taille des prothèses.

IMPERFECTIONS

Des imperfections de résultat pourront survenir :

  • Asymétrie : Si les seins ne sont pas symétriques avant l’intervention, cette asymétrie pourra persister après l’intervention même si des prothèses mammaires de volume différent sont mise en place.
  • Si les implants mammaires sont volumineux, ils pourront être plus fermes à la palpation et donner un aspect esthétique moins naturel. De même, des implants volumineux favoriseront l’apparition d’une ptose secondaire des seins.
  • Si la patiente est maigre, les implants seront plus visibles et plus perçus à la palpation, même s’ils sont placés derrière les muscles.

Ces imperfections peuvent parfois être corrigées, et notamment par une lipostructure des seins (réserves de graisse nécessaires), quelques mois après la mise en place des prothèses.

QUESTIONS FRÉQUENTES

Peut-on allaiter après la pose d’implants mammaires ?

En dehors de la voie aréolaire, où les canaux galactophores sont sectionnés, l’allaitement reste possible après une augmentation mammaire. Une grossesse est tout à fait possible également sans aucun problème ni pour le patient ni pour le bébé. En cas de souhait de grossesse, il est préférable d’observer un délai de 6 mois après l’intervention.

Quels risques de maladies immunitaires avec des prothèses mammaires ?

De nombreuses études ont montré qu’il n’y avait aucun risque supplémentaire de survenue de maladie auto-immune chez les femmes porteuses de prothèses mammaires par rapport à la population de femmes n’ayant pas d’implants mammaires.

Y a t-il plus de risques de cancer du seins avec des prothèses ?

Une augmentation mammaire par implants n’augmente pas le risque de survenue du cancer du sein.

En revanche, dans le cadre du dépistage du cancer du sein, les prothèses mammaires peuvent gêner la réalisation et l’interprétation des mammographies et/ou des échographies. Il faut donc avertir le radiologue et toujours avoir sur soi sa carte de porteur d’implants. En cas de besoin, d’autres techniques telles que l’IRM pourront être réalisées.

Combien de temps durent des implants mammaires ?

Comme pour tout matériel médical implantable (tel que les valves cardiaques, les prothèses de hanche…), les implants mammaires peuvent s’user et leur mise en place n’est pas assurée pour toute la vie.

Les nouvelles prothèses mammaires ont une enveloppe et un gel beaucoup plus solide et même si elles ne sont pas garanties à vie, il n’est pas nécessaire de les changer tous les dix ans comme cela était le cas auparavant. Les implants mammaires ne seront changés qu’en cas de problème ou si la patiente veut un volume plus important, une autre forme…

Quel est le suivi post-opératoire après une opération des seins ?

En règle générale, la première consultation postopératoire a lieu 1 semaine à 10 jours après l’intervention. La patiente est ensuite revue à 1 mois, 3 mois, 6 mois et un an et doit être assidue à ces rendez-vous postopératoires même si tout va bien.

Au-delà de la première année il faut consulter tous les 2-3 ans. Il ne faut surtout pas hésiter à consulter au moindre problème ou au moindre doute sur une anomalie. Car il vaut mieux voir son chirurgien esthétique pour rien (et être rassurée) que de laisser évoluer un problème.

AUGMENTATION MAMMAIRE, LES COMPLICATIONS ENVISAGEABLES

Même si l’augmentation mammaire par implants est une intervention de chirurgie esthétique, il s’agit avant tout d’une intervention chirurgicale, qui peut comporter des risques même s’ils sont faibles :

Complications liées à l’anesthésie

Les risques liés à l’anesthésie sont abordés avec le médecin anesthésiste lors du rendez-vous préopératoire. Cependant, toute intervention chirurgicale, même esthétique doit être réalisée dans un environnement strictement chirurgical au bloc opératoire. De ce fait et du fait de l’évolution des techniques d’anesthésie et de réanimations au cours des dernières décennies, les complications liées à l’anesthésie sont exceptionnelles.

Complications liées à la chirurgie

Le recours à un bon chirurgien esthétique qualifié, compétent, et sérieux, permet de réduire ces risques, sans toutefois les supprimer complètement :

  • Risques généraux :
    • Hématome : une collection de sang au niveau du site opératoire est une complication précoce qui peut nécessiter une reprise chirurgicale pour évacuer l’hématome, nettoyer et cautériser le vaisseau responsable s’il y en a un.
    • Épanchement séreux : une collection de lymphe peut se faire autour de l’implant. Cette collection entrainera un accroissement transitoire de la taille du sein et disparaitra spontanément sans avoir recours à un geste chirurgical.
    • Infection : heureusement rare, l’infection peut nécessiter un traitement antibiotique et une nouvelle intervention chirurgicale pour retirer les prothèses. Celles-ci ne pourront être remises qu’après plusieurs mois de cicatrisation.
    • Souffrance de la peau : Ce risque est largement favorisé par le tabac d’où la nécessiter d’arrêter le Tabac 6 semaines avant l’intervention. Une nécrose de la peau peut exposer la prothèse mammaire et obliger à une ré-intervention.
    • Troubles de la cicatrisation : La cicatrisation est un phénomène naturel et imprévisible, d’où la nécessité d’attendre un an à un an et demi pour juger de son aspect définitif. La cicatrice peut parfois être hypertrophique voir chéloïde, elle peut être hypo ou hyperpigmentée.
    • Troubles de la sensibilité : Les troubles de la sensibilité sont fréquents au cours des premières semaines, le plus souvent, ils disparaissent spontanément. Parfois, il peut persister une petite diminution de la sensibilité.
  • Complications liées aux prothèses mammaires :
    • Apparition de plissements : Des plis au niveau de l’enveloppe peuvent être palpés et/ou vus latéralement, médialement ou au niveau du sillon sous mammaire. Ces plis sont rarement visibles.
    • Coques : Tour corps étranger dans l’organisme sera isolé par une barrière membraneuse étanche fabriquée par l’organisme lui-même. Il en est donc de même pour un implant mammaire qui sera isolé du reste de l’organisme par une capsule. Cette membrane autour de la prothèse est mince, souple et on ne la perçoit donc pas à la palpation. Parfois, de façon imprévisible, cette membrane s’épaissira et se rétractera pour devenir dure et comprimer l’implant. Cet épaississement est appelé : coque. Différent degrés existent du simple raffermissement jusqu’à la déformation dure et douloureuse du sein. Bien que les nouvelles prothèses aient permis une diminution de ces coques, il est parfois nécessaire de les retirer chirurgicalement.
    • Rupture : Une rupture de la prothèse peut être due soit à son vieillissement, soit plus souvent, à un important traumatisme tel un accident de la voie publique avec ceinture de sécurité. Il convient au moindre doute sur une douleur ou une modification de la forme du sein, de consulter son chirurgien esthetique. En cas de rupture, la prothèse mammaire devra être changée chirurgicalement.
    • Mauvaise position de l’implant : Une malposition ou un déplacement secondaire des prothèses mammaires modifiant la forme des seins, peut nécessiter une ré-intervention.
    • Retournement d’une prothèse anatomique : La rotation d’un implant anatomique est possible. Si la forme de la poitrine est modifiée, ce retournement pourra également nécessiter une ré-intervention.

CONCLUSION

L’objectif de cette intervention chirurgicale est de permettre une amélioration du volume et de la forme des seins. Si votre attente est justifiée et raisonnable, vous serez pleinement satisfaite du résultat de l’intervention.

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