Oreilles décollées et otoplastie à Genève

Les pavillons d’oreilles vieillissent, ils perdent de la matière, deviennent plus élastiques. Par conséquents les proportions de l’oreille changent. Donc les oreilles s’étalent, la peau devient plus flasque présente des rides. Du coup, le bombé naturel disparait et les pavillons d’oreilles deviennent moins fermes.

Au-delà de ces aspects, le décollement de l’oreille n’est pas un signe de vieillissement mais de naissance.

Si les oreilles décollées sont un signe de sagesse en Chine, ce n’est pas vraiment ce cas pour les oreilles décollées et autoplastie à Genève !

Grace à une cicatrice de petite taille cachée dans le pli derrière l’oreille, l’otoplastie permet un remodelage complet de l’oreille en corrigeant sa forme et ses différents reliefs.

Le plus souvent, l’opération est réalisée sur les deux oreilles (otoplastie bilatérale), mais elle peut parfois être unilatérale.

Les oreilles sont recollées, leur symétrie est conservée et leur aspect reste naturel. Le résultat améliore l’aspect esthétique qui se répercute directement sur l’état psychologique de la patiente.

Le Docteur Jean-Charles Bayol, spécialiste de la chirurgie esthétique du visage, vous reçoit à Laclinic-Montreux pour vos problèmes d’oreilles décollées. Il vous écoutera, vous examinera, vous proposer une solution thérapeutique « sur mesure » et répondra à vos questions. N’hésitez pas à appeler pour de plus amples informations ou pour prendre un rendez-vous de consultation.

La chirurgie esthétique et le tabac

D’après une récente étude canadienne, un quart des patients arrêtent totalement de fumer après une opération de chirurgie esthétique. C’est une bonne chose car chirurgie esthétique et tabac ne font pas bon ménage.

Il est établi que l’intoxication tabagique multiplie par 2 à 4 le risque de complications postopératoires. Ces complications concernent plus particulièrement des infections postopératoires et les nécroses cutanées. C’est pourquoi avant et après une opération de chirurgie esthétique, il est fortement déconseillé de fumer. Cette majoration du risque de complication disparaît lorsque le tabac est arrêté complètement pendant les 6 à 8 semaines qui précèdent l’intervention, et les 2 à 4 semaines qui la suivent.

Chirurgie esthétique et tabac, une mauvaise association

Les résultats de l’étude montrent que 40 % des patients ont arrêté de fumer quotidiennement, et que près d’un quart n’ont pas fumé du tout depuis leur intervention. 70 % des patients ont reconnu que le risque de complications liées au tabac a influencé leur décision de réduire ou d’arrêter de fumer. Cependant, 50% des patients ont admis ne pas avoir suivi à la lettre les instructions de leur médecin et un près d’un quart a reconnu avoir continué à fumer jusqu’au jour de l’intervention.

Nous pouvons donc apporter la conclusion que l’arrêt du tabac forcé par un acte de chirurgie peut influer de manière bénéfique le tabagisme du patient.

Le Docteur Jean-Charles Bayol, vous exposera en consultation les effets indésirables du tabac dans les suites d’une intervention de chirurgie esthétique.

Acide hyaluronique et toxine botulique à Lausanne

Des injections pour rajeunir ? En effet, l’acide hyaluronique et la toxine botulinique sont les deux molécules « superstars » de la chirurgie esthétique à Lausanne!

Mais nous ne pouvons pas vraiment les comparer, car elles diffèrent tant dans leurs indications que dans leur mode d’action.

À l’origine, l’acide hyaluronique est présent naturellement dans l’organisme et notamment dans les articulations ou la peau. Aujourd’hui, l’acide hyaluronique utilisé en médecine esthétique provient de la biotechnologie.

Si l’acide hyaluronique nous intéresse, c’est qu’il a la capacité de réhydrater toutes les couches de la peau. Plusieurs formes sont disponibles, en mésothérapie pour apporter un coup d’éclat, les skinboosters pour réhydrater le derme, en produit de comblement pour recréer les volumes du tiers moyen du visage, combler les sillons nasogéniens, redessiner le contour des lèvres…

L’acide hyaluronique injecté est naturellement dégradé par l’organisme progressivement après l’injection. Or, son efficacité dure de 12 à 18 mois.

La toxine botulique a été utilisée au départ pour des actions thérapeutiques dans le domaine de l’ophtalmologie ou de la neurologie avant de se populariser en chirurgie esthétique pour agir sur la composante musculaire des rides.

Elle est utilisée essentiellement pour les rides d’expression du haut du visage. Ces rides sont : glabelle ou rides « du lion »; le front et la patte d’oie. Il faudra répéter les injections tous les 6 mois pendant 2 ans puis espacer progressivement le rythme.

Pour avoir de plus amples informations sur le traitement de médecine esthétique « sur mesure » qu’il vous faut, n’hésitez pas à contacter le Docteur Jean-Charles Bayol à Laclinic Montreux, à 20 minutes de Lausanne et moins d’une heure de Genève !

La génioplastie à Lausanne.

L’augmentation du menton, également appelée génioplastie à Lausanne, permet de redonner de l’harmonie au visage en renforçant le relief du menton lorsqu’il est jugé insuffisamment développé de profil.

Les différentes techniques de chirurgie du menton corrigent efficacement les défauts esthétiques, tels qu’un menton en galoche qui est trop avancé ou un menton fuyant qui, au contraire, est trop reculé.

Comment savoir si votre menton est saillant ou fuyant ? En fait, esthétiquement, il existe de profil une ligne verticale idéale depuis le front qui passe par le nez jusqu’à la base horizontale du menton. Si le menton dépasse de cette ligne, il est saillant. Si le menton est situé en arrière de cette ligne, il est fuyant.

Donc selon la technique chirurgicale de génioplastie employée, l’opération du menton se fait sous anesthésie vigile (sédation) ou générale.

Pour reculer un menton en galoche, on réalise un au rabotage de l’os de la mâchoire, ou une ostéotomie de recul du menton.

Pour avancer un menton fuyant trois techniques existent : la pose d’un implant menton, l’ostéotomie d’avancement du menton, la greffe osseuse après un prélèvement.

Nous pouvons nous poser la question : Y a-t-il une forme de menton qui constitue un critère de beauté universel ? Un même menton est-il reconnu beau dans toutes les cultures et ethnies ? Ou existent-ils des sous-groupes sous-jacents à différentes préférences selon les régions géographiques ?Génio